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Cette semaine on a célébré le quarantième anniversaire de Casimir, le gentil dinosaure. Très populaire auprès de plusieurs générations, il est le personnage principal de l'émission de télévision l'Île aux enfants ! La plupart des Français connaissent au moins le refrain de la chanson !
Mardi dernier, Google a rendu hommage à Casimir à sa façon, en lui consacrant un "Doodle" spécial en page d'accueil (ci-dessus).
On parle des Pays-Bas dans le journal Le Monde. J'étais il y a quelques semaines passées sur le "Oosterscheldekering" que l'on voit sur la photo. Ah Zeeland...une région magnifique!
Le quatrième album de Christophe Willem sortira au mois de novembre. Pour faire patienter ses nombreux fans il a présenté ce mois un premier extrait. Quelle voix unique !
J't'ai dans les yeux Au petit jour Je fais des tours Et des aveux
Je t'ai en tête Comme mes idées Souvent muettes Chantent l'été
Avec des battements de cils Je joue des tours à tes humeurs Jusqu'à ce que tu perdes les fils A en oublier le nom des fleurs
Je t'ai dans la peau Au petit matin alors que les rêves passent Ton regard berce mes chagrins Pendant que les heures se prélassent Je t'ai dans la peau Au petit matin alors que les rêves passent Ton regard berce mes chagrins Pendant que les heures se prélassent
Je parle des crépuscules, des passants, des pavés Je raconte la lune, je te raconte la lune Je m'étends sur la brume ou sur tes baisers Mais moi je sais raconter tes baisers Je décris des dizaines d'humeurs quotidiennes Je te chante encore mes joies mes peines Je détaille toujours des histoires tout bas Mais comme j'aime penser à toi
Avec des battements de cils Je joue des tours à tes humeurs Jusqu'à ce que tu perdes les fils A en oublier le nom des fleurs
Je t'ai dans la peau Au petit matin alors que les rêves passent Ton regard berce mes chagrins Pendant que les heures se prélassent Je t'ai dans la peau Au petit matin alors que les rêves passent Ton regard berce mes chagrins Pendant que les heures se prélassent
Cette reprise du classique de Maurice Chevalier est l'une des treize chansons qu'interprète Zaz dans son troisième album, «Paris» qui sortira le 10 novembre, avec un prime un très joli clip bien kitch !
Paris sera toujours Paris
Par précaution on a beau mettre Des croisillons à nos fenêtres Passer au bleu nos devantures Et jusqu´aux pneus de nos voitures Désentoiler tous nos musées Chambouler les Champs Elysées Emmailloter de terre battue Toutes les beautés de nos statues Voiler le soir les réverbères Plonger dans le noir la ville lumière
{Refrain:} Paris sera toujours Paris! La plus belle ville du monde Malgré l´obscurité profonde Son éclat ne peut être assombri Paris sera toujours Paris! Plus on réduit son éclairage Plus on voit briller son courage Plus on voit briller son esprit Paris sera toujours Paris!
2. Pour qu´à ce bruit chacun s´entraîne On peut la nuit jouer d´la sirène Nous contraindre à faire le zouave En pyjama dans notre cave On aura beau par des ukases Nous couper l´veau et même le jazz Nous imposer le masque à gaz Des mots croisés à quatre cases Nous obliger dans nos demeures A nous coucher tous à onze heures
{Refrain:} Paris sera toujours Paris! La plus belle ville du monde Et quand les restrictions abondent Gentiment il en prend son parti Paris sera toujours Paris! On a beau réduire son essence On n´réduira pas sa confiance Sa bonne humeur et son esprit Paris sera toujours Paris!
3. Bien que ma foi, depuis octobre Les robes soient beaucoup plus sobres Qu´il y ait moins d´fleurs et moins d´aigrettes Que les couleurs soient plus discrètes Bien qu´aux galas on élimine Les chinchillas et les hermines Que les bijoux pleins de décence Brillent surtout par leur absence Que la beauté soit moins voyante Moins effrontée moins provocante...
{Refrain:} Paris sera toujours Paris! La plus belle ville du monde Même quand au loin le canon gronde Sa tenue est encore plus jolie... Paris sera toujours Paris! On peut limiter ses dépenses, Sa distinction son élégance N´en ont alors que plus de prix Paris sera toujours Paris!
Ma chère ville de Lyon célébrait hier le dixième anniversaire du défilé de la biennale de la danse. 300 000 personnes dans les rues, la place Bellecour noire de monde, j'aurais aimé être là ! Et vous ?
Toujours très populaire en France, Yannick Noah inpterprète son succès "La voix des sages" à l'occasion du trentième anniversaire du festival des Francofolies de La Rochelle (Les copains d'abord).
Quand je ne crois plus à mes rêves Ou que je vis ceux des autres Quand moins souvent mon poing se lève Que je ne suis plus des vôtres Et quand j'oublie ce que je crois Ils me redonnent la foi
Alors j'entends, j'entends J'entends la voix des sages Et je chante Je chante avec eux
No more fighting No more killing No more fighting No more killing
Quand l'amour n'est plus qu'un devoir Ou quand mon regard se détourne Quand je préfère ne pas savoir Ou que mon âme devient sourde Et quand j'oublie ce que je dois Ils me remontrent la voie
Alors, j'entends, j'entends J'entends la voie des sages Et je chante Je chante avec eux
No more fighting No more killing No more fighting No more killing
Quand je ne crois plus à mes rêves Ou que je vis ceux des autres Quand moins souvent mon poing se lève Que je ne suis plus des vôtres
Alors, j'entends, j'entends J'entends la voie des sages Et je chante Je chante avec eux
"Merci Serge Reggiani", un bel album d'Isabelle Boulay en hommage à Serge Reggiani. De très jolis textes ! Premier extrait "Il suffirait de presque rien".
Il suffirait de presque rien, Peut-être dix années de moins, Pour que je te dise "Je t'aime". Que je te prenne par la main Pour t'emmener à Saint-Germain, T'offrir un autre café-crème.
Mais pourquoi faire du cinéma, Fillette allons regarde-moi, Et vois les rides qui nous séparent. A quoi bon jouer la comédie Du vieil amant qui rajeunit, Toi même ferait semblant d'y croire.
Vraiment de quoi aurions-nous l'air ? J'entends déjà les commentaires, "Elle est jolie, comment peut-il encore lui plaire Elle au printemps, lui en hiver".
Il suffirait de presque rien, Pourtant personne tu le sais bien, Ne repasse par sa jeunesse. Ne sois pas stupide et comprends, Si j'avais comme toi vingt ans, Je te couvrirais de promesses.
Allons bon voilà ton sourire, Qui tourne à l'eau et qui chavire, Je ne veux pas que tu sois triste. Imagine ta vie demain, Tout à côté d'un clown en train, De faire son dernier tour de piste.
Vraiment de quoi aurais-tu l'air ? J'entends déjà les commentaires, "Elle est jolie, comment peut-il encore lui plaire ? Elle au printemps, lui en hiver".
C'est un autre que moi demain, Qui t'emmènera à St-Germain Prendre le premier café crème. Il suffisait de presque rien, Peut-être dix années de moins Pour que je te dise "Je t'aime"