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Comme c'est bien !

Comme c'est bien Cali ! Vraiment mon favori depuis le début, ce n'est pas la première fois que je vous parle de lui et sûrement pas la dernière !

Comme j'étais en vie (wat was ik in leven, gelukkig ?)

J’étais dingue de toi
Prêt à toutes les conneries
Prêt à faire n’importe quoi
Je me souviens de ces quelques pas
Que tu m’avais appris
Pour valser sous les feux mon amour

Je me souviens des lampions et de l’orchestre
Et les autres riaient
On tournait maladroits
Mais la nuit nous appartenait
Et puis quand tu m’as dit
Laissons-les boire à notre amour qui hurle, putain

Comme j’étais en vie
Comme j’étais en vie
Comme j’étais en vie

Et j’embrassais tes doigts
Et j’embrassais tes yeux
J’étais dingue de toi
Je n’avais plus besoin de perdre
Tu m’as pris par la manche
Et dans cette petite rue
Nous brûlions l’un près de l’autre, putain

Comme j’étais en vie
Comme j’étais en vie
Comme j’étais en vie

Je me souviens de notre dernier mot
Le plus inoubliable
Et de tes lèvres qui brillaient dans le soir
Et puis on a rejoint les autres
Dans les rires, le bonheur et le vin
Tu venais de temps en temps, délicieuse, prendre ma bouche
Mon Dieu comme j’étais beau, putain

Comme j’étais en vie
Comme j’étais en vie
Comme j’étais en vie

J’étais dingue de toi
Prêt à toutes les conneries
Prêt à faire n’importe quoi
Je me souviens de ces quelques pas
Que tu m’avais appris
Mon Dieu comme j’étais beau
 

Commentaires

  • Moi, j’aime aussi beaucoup Cali.
    Belle texte, une voix sensuelle et naturellement “gewoon een lekker ding”.

    ""Mon Dieu comme j’étais beau, putain""

    Bien arrogant de dire quelque chose de soi même.

    ""Comme j’étais en vie""

    Pourquoi vous traduisez ca avec : wat was ik in leven, gelukkig ?
    Je pensait que vous étiez le professeur. Je ne vois pas un ‘heureux’ dans cette phrase et je pense que cette construction de phrase n'est pas heureux du tout.

    J’ai l’impression que le sujet de cette texte est mort maintenant. Reste moi une sorte de curiosité comment ca va avec le putain. (pourqoi pas une putaine ?)

    Merle

  • "Mon Dieu comme j’étais beau"

    Son bonheur était si grand, il se sentait si bien qu'il se sentait beau. Beau à l'intérieur et donc beau à l'extérieur. Tous ceux qui ont été amoureux connaissent ce sentiment, l'amour donne confiance en soi, l'amour rend les gens beaux. Rien d'arrogant ici je pense.

    "Comme j’étais en vie"
    Se sentir en vie c'est se sentir bien dans sa peau, bien dans sa tête. En d'autres mots: être heureux de vivre.

    À propos du mot "putain", il faut se placer dans le contexte de la langue française et laisser le sens "hoer" de côté. Ici rien à voir avec les prostitués, on utilise le mot "putain"en français un peu comme le mot "verdomme" en néerlandais.

    Amicalement,

    Denis

  • Merci de votre reponse, je comprend maintenant qu’il n’est pas mort mais plutot que l’amour s’envolait comme une merle après leur dernier mot.


    "Comme j’étais en vie"

    Vous voulez donc dire que se sentir en vie est d’être heureux.
    Peus-je constater que vous penser que se sentir mort est donc être malheureux ?
    Et peut être aussi que vivre=chaud=bien et mort=froid=mal

    Je pense qu’une phrase "Comme j’étais en vie" dans cette texte est bien brouillante. Vivre dans une guerre n’est pas vivre très heureux et on ne se sent donc pas en vie mais on n'est pas encore mort. Brouillante, brouillante........
    Pour moi « vivre » n’a rien à faire avec d’être heureux.


    "Mon Dieu comme j’étais beau"

    Merci, belle explication.


    « l'amour donne confiance en soi, l'amour rend les gens beaux. «

    Mais après le dernier mot, putain, la confiance en soi s’envole. Il doit maintenant attendre jus qu’au une autre femme vient dan sa vie. Pauvre type !


    Amicalement,

    Merle

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