Les Pays-Bas cités en exemple cette fois-ci en ce qui concerne l'assouplissement des démarches administratives pour les procédures d'adoption (en cours) d'enfants haïtiens. La France, elle, se distingue par sa raideur administrative mais justifie sa position en expliquant craindre les trafics et les enlèvements d'enfants.
« On ne vole pas les enfants ! » (Le petit bleu de Lot-et-Garonne)
Adoption: Paris mis en cause malgré l'accueil des premiers enfants haïtiens (AFP)