Un des tubes de cette année, encore un ex de La nouvelle star: Ycare.
Puisque c'est toujours l'été profitons-en, c'est pour se mettre de bonne humeur !
Lap Dance
Toi mon amour, mon immense, mon battement de coeur
Dis-moi quand tu danses, dis-moi quand tu danses
Toi mon amour, mon insolence, mon jeu de tambour
Dis à quoi tu penses, dis à quoi tu penses ?
Mais quelle violence de faire ce tour là nuit le jour
Tu danses et chantes et toi tu cours
C’est un scandale
[Refrain]
Dis quand tu danses, à quoi tu penses ?
Dis quand tu danses, à quoi tu penses ?
Attends mon amour, mon désir, ma goutte d’absinthe
J’ai oublié de te dire, j’ai oublié de te dire
Attends mon amour, mon sourire, je sais que tu n’es pas une sainte
Mais l’Enfer transpire et le Paradis, je connais pas
Mais quelle insolence de faire le tour de mon pourtour
Quand d’autres payent un Lap Dance, assassinant le suspense
[Refrain]
Dis quand tu danses, à quoi tu penses ?
Dis quand tu danses, à quoi tu penses ?
Dis quand tu danses, est-ce que tu penses à moi ?
Commentaires
Bien ! Beaucoup de personnalité, de caractère. Je l'aimais bien à la Nouvelle star surtout quand il a fait sa version de Bang bang: http://www.youtube.com/watch?v=gh4AeGUEcAY
Bang bang est du vol.
Lapdance, c'est mieux. Riche texte.
UN HOMME !! (enfin)
Ycare, c’est comme un mélange de mon assurence de santé et ce Grec qui voulait voler.
Je ne le connaissais pas du tout.
J' adore !
Hier, en dansant, je pensait à des tripes à la mode de Caen.
Je sentais, en dansant, les quatre coins de mon lap, et pensait à des tripes de Caen qui sont
réalisée avec les quatre estomacs d'un ruminant (panse, feuillet, bonnet et caillette) et un pied de bœuf, bien que je dansait moi même à deux pieds.
La recette poétique:
(Jean Le Hir)
Sur ta demande, Jeanneton,
Je t’écris pour te donner
La recette des tripes à la mode.
Pour cuire de bonne façon,
Parfaitement selon le code,
Pieds de bœuf, feuillet,
Les mulettes et le bonnet.
En vue de cette ripaille,
À l’eau claire bien lavés
Coupe en morceaux carrés
Toute cette tripaille,
Carottes, oignons en rouelles,
Poireaux, bouquet garni,
Clous de girofle, céleri.
Alors, ma toute belle,
De la pote en terre,
Tapissé de beurre frais,
Va monter l’odeur des prés.
Avec onction à ce mélange
De produits du cru,
Dispense de calva un verre,
Couvre l’édifice de pur jus.
D’un bon sel modérément,
De poivre moulu abondant,
Assaisonne cette vendange.
Douze heures de cuisson au four
D’un boulanger d’alentour.
Il importe au bout de ce temps
Que le jus onctueux, doré,
Réduit, odorant, corsé
Baigne ce mets truculent.
Tu serviras cette merveille
Dans des assiettes brûlantes.
Et voici, ô ma charmante,
La recette sans pareille
Que m’a léguée un mien parent
Des tripes à la mode de Caen.
Ce matin, en dansant, je pensait à moi.
Effectivement.