J'ai déjà placé cette vidéo dans un des commentaires d'une note précédente, mais je la montre ici aussi pour que tous puissent en profiter. C'était la première audition de Angélina Wismes qui est considérée comme une des favorites de la version française de "The Voice". Il s'agit là aussi d'une chanson de Barbara "Mon enfance".
Commentaires
C' est jolie mais ça dure, hein, le commencement? La femme qui presse le premier regarde a mon soeur. Sont ils toujours des femmes qui presse le premier?
C'est un jeu ou quoi?
Qui gagne?
Quels sont de règles?
Doit on sourire tout le temps?
C' est ça le jeu?
Ou peut être c'est un cours d' être timide?
Qui est la meneuse du jeu?
Les nouveaux répliques se sont dressées mais il ne reste qu' une Barbara.
Je voudrais bien voir les visages du jury quand elle était un vieille virago avec des cheveux longues aux places ou il ne sont pas usuel.
Connaissez vous Charles Aznavou, j' adore Aznavour.
Merveilleux, ik kan niet anders zeggen.
Un jour tu passes la frontière D'où viens-tu mais où vas-tu donc Demain qu'importe et qu'importe hier Le coeur change avec le chardon Tout est sans rime ni pardon
Passe ton doigt là sur ta tempe Touche l'enfance de tes yeux Mieux vaut laisser basses les lampes La nuit plus longtemps nous va mieux C'est le grand jour qui se fait vieux
Les arbres sont beaux en automne Mais l'enfant qu'est-il devenu Je me regarde et je m'étonne De ce voyageur inconnu De son visage et ses pieds nus
Peu a peu tu te fais silence Mais pas assez vite pourtant Pour ne sentir ta dissemblance Et sur le toi-même d'antan Tomber la poussière du temps
C'est long vieillir au bout du compte Le sable en fuit entre nos doigts C'est comme une eau froide qui monte C'est comme une honte qui croît Un cuir à crier qu'on corroie
C'est long d'être un homme une chose C'est long de renoncer à tout Et sens-tu les métamorphoses Qui se font au-dedans de nous Lentement plier nos genoux
O mer amère ô mer profonde Quelle est l'heure de tes marées Combien faut-il d'années-secondes A l'homme pour l'homme abjurer Pourquoi pourquoi ces simagrées
Rien n'est précaire comme vivre Rien comme être n'est passager C'est un peu fondre comme le givre Et pour le vent être léger J'arrive où je suis étranger