J'ai parlé avec certains d'entre vous de l'euthanasie et évoqué l'affaire qui secoue la France en ce moment: la cas de Vincent Lambert. Aujourd'hui le conseil d'État rend son avis sur ce conflit. Une affaire complexe où deux camps de la famille s'affrontent. Terrible...
le résumé de cette affaire en 10 questions (lemonde.fr)
Commentaires
Nous avons envoyé 'notre' euthanasie (de Els Borst) 'a la France mais ca dure encore. Une nouveau paquet est arrivé en Belgique. Il faut avoir de la patience, ça va venir.
http://www.youtube.com/watch?v=nSEV731tbiU
Donner de nourriture artificielle est un acte contre la nature. La mère très religieuse de l'homme apparemment considère qu'il faut aider la vie au détriment de la mort mais pas la mort au détriment de la vie. Une pensée non chrétienne de vouloir protéger la vie contre la mort, la nourriture artificielle contre les fruits perpétuelles, l'attachement contre la liberté. Ca c'est de jouer pour Dieu. Les gens se cachent derrière les règles.
Je cherche encore une épousse qui m'aime comme mme lambert et me laisse aller quand mon temps est là.
ps. quel drôle mot ' épousse'. Que pousse-t-elle? La poussière?
Des règles sont des règles.
Soyez heureux qu'ils sont là.
D' où vient la crainte pour l'euthanasie de la France. Prenez la Belgique, l'un des rares pays européens à avoir dépénalisé l'euthanasie. De septembre 2003 à fin 2004, l'équipe psychosociale de soutien du service d'oncologie du Réseau hospitalier d'Anvers à Middelheim a travaillé sous la direction du docteur Raymond Mathys à rédiger un rapport fidèle des demandes d'euthanasie rencontrées dans leurs services. De là est né ce livre : un livre de gens courageux qui parlent de gens courageux, un livre qui nous fait entrer dans l'intimité des malades et de leurs soignants, avec leur façon d'assumer concrètement leur souffrance et parfois de choisir finalement l'euthanasie. Ces récits et témoignages montrent comment une équipe cherche à agir avec discernement dans des situations où le malade lui-même est capable de donner le ton et où il lui est permis de prendre l'initiative parce que chaque histoire d'euthanasie est particulière. Et chaque patient est unique.