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La semaine passée Hema, déjà bien implanté en France, inaugurait un nouveau magasin à Lyon (voir ici) et il y a quelques semaines c'était au tour de Kruidvat d'inaugurer son premier magasin à Lille. Harry du groupe de conversation de Dronten nous en avait déjà parlé. Ce qui est intéressant c'est que dans les deux cas ce sont des concepts de magasins qui n'existent pas en France.
Souhaitons donc à Kruidvat autant de succès que Hema ! Une question importante toutefois comment les Français vont-ils prononcer "Kruidvat" ?!
Spécialement pour Ben qui m'a récemment parlé de sa passion pour le groupe Indochine, une de mes chansons préférées de ce groupe !
J'ai demandé à la lune - Indochine
J'ai demandé à la lune Et le soleil ne le sait pas Je lui ai montré mes brûlures Et la lune s'est moquée de moi Et comme le ciel n'avait pas fière allure Et que je ne guérissais pas Je me suis dit quelle infortune Et la lune s'est moquée de moi
J'ai demandé à la lune Si tu voulais encore de moi Elle m'a dit "j'ai pas l'habitude De m'occuper des cas comme ça" Et toi et moi On était tellement sûrs Et on se disait quelquefois Que c'était juste une aventure
Et que ça ne durerait pas Je n'ai pas grand chose à te dire Et pas grand chose pour te faire rire Car j'imagine toujours le pire
Et le meilleur me fait souffrir J'ai demandé à la lune Si tu voulais encore de moi Elle m'a dit "j'ai pas l'habitude De m'occuper des cas comme ça" Et toi et moi On était tellement sûrs Et on se disait quelquefois Que c'était juste une aventure Et que ça ne durerait pas
C'est comme ça Ah, la la la la Ouais le secret ça coupe et ça donne Oh, oh, faut que j'moove Sans fin du venin qui me fait mal au cœur Quand le serpent Chaloupe et console Oh, oh, faut que j'moove L'ami Sadi s'enlise et là ça fait peur Si c'est ça Ah la la la la Ça le susurre a mes entournures Ah, ah, faut que j'moove Ça le grince juste pendant la nuit
Ah, c'est comme ça ça plonge et ça vire Ah, ah, faut que j'moove Et ça gêne quoi, quand y a pas de plaisir
C'est comme ça Ah la la la la La lala lala lala lalala... J'veux pas t'abandonner, mon bébé J'veux pas nous achever, tu sais C'est pas que je veuille te nuire ni que je veuille m'enfuir Il me faut prendre le frais, c'est vrai Hé, hé, hé hé, viens près de moi que je te le dise Faut que j'moove ce secret qui me tord le cœur Ah, la la la...
Comme chaque année nous avons reparlé de Saint-Nicolas et du Père Fouettard, alors je publie de nouveau cette ancienne note très complète sur le sujet !
Ci-dessous la fameuse chanson sur la légende des enfants au saloir
La légende de Saint Nicolas (16ème siècle)
Ils étaient trois petits enfants Qui s'en allaient glaner aux champs Tant sont allés, tant sont venus Que vers le soir se sont perdus. S'en sont allés chez le boucher : Boucher, voudrais-tu nous loger ? Entrez, entrez, petits enfants, Y'a de la place assurément. Ils n'étaient pas sitôt entrés Que le boucher les a tués, Les a coupés en p'tits morceaux Mis au saloir comme pourceaux. Saint Nicolas au bout d'sept ans Vint à passer dedans ce champ, Alla frapper chez le boucher : Boucher, voudrais-tu me loger ? Entrez, entrez, Saint Nicolas, Y'a de la place, il n'en manque pas. Il n'était pas sitôt entré qu'il a demandé à souper. Voulez-vous un morceau de jambon ? Je n'en veux pas il n'est pas bon. Voulez-vous un morceau de veau ? Je n'en veux pas il n'est point beau. Du p'tit salé, je veux avoir Qu'il y a sept ans qu'est dans l'saloir. Quand le boucher entendit ça, Hors de la porte il s'enfuya. Boucher, boucher ne t'enfuies pas, Repends toi, Dieu te pardonnera. Saint Nicolas alla s'asseoir Dessus le bord de son saloir. Petits enfants qui dormez là, Je suis le grand Saint Nicolas. Et le Saint étendit trois doigts, Les petits se levèrent tous les trois. Le premier dit : "J'ai bien dormi." Le second dit : "Et moi aussi." Et le troisième répondit "Je me croyais au Paradis."
Magnifique Marseillaise interprétée hier lors de l'hommage aux victimes du 13 novembre.
L'hymne français a été interprété par les chanteurs de l'Académie de l'Opéra de Paris, puis par le choeur de l'Armée française, accompagné par l'orchestre de la Garde républicaine.
Deux couplets sont chantés dans cette version.
Allons enfants de la Patrie Le jour de gloire est arrivé ! Contre nous de la tyrannie L'étendard sanglant est levé Entendez-vous dans nos campagnes Mugir ces féroces soldats? Ils viennent jusque dans vos bras. Égorger vos fils, vos compagnes!
Aux armes citoyens Formez vos bataillons Marchons, marchons Qu'un sang impur Abreuve nos sillons
Amour sacré de la Patrie Conduis, soutiens nos bras vengeurs Liberté, Liberté chérie Combats avec tes défenseurs! Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire!
Aux armes citoyens Formez vos bataillons Marchons, marchons Qu'un sang impur Abreuve nos sillons
Le clip d'une nouvelle campagne contre le racisme. Prévue de longue date, cette campagne prend une résonance particulière après les attentats du 13 novembre.