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Une tendance qui se confirme cette année encore, dans les grands magasins parisiens, les traditionnelles vitrines de Noël avec jouets et automates qui émerveillaient les enfants disparaissent pour être remplacées par des vitrines d'objets de luxe (Vuitton, Dior etc.). Des vitrines destinées aux adultes français et aussi étrangers qui visitent la capitale pendant les fêtes de fin d'année. Noël de plus en plus commercial et de moins en moins enchanteur...c'est un peu triste !
Après l’énorme succès de son album « Bretonne » (album en partie en breton), vendu à plus d’un million d’exemplaires, Nolwenn Leroy revient avec « Ô filles de l’eau », toujours dans le style celtique qui a fait son succès, mais avec de nouvelles chansons écrites pour cet album. Le premier extrait s'appelle Juste pour me Souvenir et moi j'aime beaucoup et vous ?
Quand on souffle sur les braises Voilà que le vent rôde Tournant contre la falaise Que la marée taraude Ce ne sont pas des larmes Ni même de la rosée Que mon visage réclame Juste un peu de buée Un peu d'eau et de sel Juste pour me souvenir Que derrière les nuages du ciel Se cache ton sourire
Refrain: Juste un peu d'eau sur les lèvres Juste pour me souvenir De ce dernier baiser amer Juste avant de t'enfuir Dis moi juste que tu es ici Sous l'océan enfoui Dans les bras d'une sirène qui Te chantera toute la nuit Te chantera toute la nuit
Je marche sur la grève Où les bateaux s'échouent Mais jamais la marée ne ramène Nos hommes jusqu'à nous Le vieux phare allumé Tranchant comme une lame Rappelle que Saint Cast avait Laissé chez lui sa femme Qui marchait dans le sel Juste pour se souvenir Que derrière les vagues du ciel Se cachait son sourire
Refrain...
L'océan qui t'a enlevé Envoie son écume à mes pieds Pourrais-je un jour lui pardonner
Une chanson de Jean-Jacques Goldman de 2002 étudiée avec les participants à mes groupes pour illustrer et conclure une série de discussions sur le thème de la consommation.
Un texte très intéressant à discuter, je le recommande à tous mes collègues enseignants.
Si j'avais si j'avais ça Je serais ceci je serais cela Sans chose je n'existe pas Les regards glissent sur moi J'envie ce que les autres ont Je crève de ce que je n'ai pas Le bonheur est possession Les supermarchés mes temples à moi
Dans mes uniformes, rien que des marques identifiées Les choses me donnent une identité
Je prie les choses et les choses m'ont pris Elles me posent, elles me donnent un prix Je prie les choses, elles comblent ma vie C'est plus 'je pense' mais 'j'ai' donc je suis
Des choses à mettre, à vendre, à soumettre Une femme objet qui présente bien Sans trône ou sceptre je me déteste Roi nu, je ne vaux rien
J'ai le parfum de Jordan Je suis un peu lui dans ses chaussures J'achète pour être, je suis Quelqu'un dans cette voiture Une vie de flash en flash Clip et club et clopes et fast food Fastoche speed ou calmant Mais fast, tout le temps zap le vide Et l'angoisse
Plus de bien de mal, mais est-ce que ça passe à la télé Nobel ou scandale ? on dit 'V.I.P'
Je prie les choses et les choses m'ont pris Elles me posent, elles me donnent un prix Je prie les choses, elles comblent ma vie C'est plus 'je pense' mais 'j'ai' donc je suis
Des choses à mettre, à vendre, à soumettre Une femme objet qui présente bien Sans trône ou sceptre je me déteste Roi nu, je ne vaux rien
Je prie les choses et les choses m'ont pris Elles me posent, elles me donnent un prix Je prie les choses, elles comblent ma vie C'est plus 'je pense' mais 'j'ai' donc je suis
Un tatouage, un piercing, un bijou Je veux l'image, l'image et c'est tout Le bon 'langage' les idées 'qu'il faut' C'est tout ce que je vaux
Quand j'étais jeune j'ai aimé Johnny Halliday. Je l'ai même vu en concert à Paris dans les années 80. Ces concerts sont toujours d'énormes spectacles avec danseurs, effets spéciaux, cascades donc avec de grandes scènes et pourtant il a une telle présence qu'il remplit la scène tout seul. C'était très impressionnant à voir.
Plus tard le personnage public a commencé à m'irriter un peu mais je garde pour lui une certaine tendresse. Je pense que de nombreux Français sont dans mon cas, Johnny fait partie du patrimoine culturel français et nous y sommes attachés. Dans une de ses chansons Cali dit même:
Il y a cette question qui hante mes nuits Combien de jours de deuil à la mort de Johnny ?
Et c'est une bonne question car on aime ou pas sa musique, on n'est plus ou moins irrité par ses prises de positions politiques ou par la surmédiatisation de sa vie privée, on est plus ou moins amusé par la qualité (souvent moquée et caricaturée par les humoristes) de son français mais on respecte le chanteur.
Plus de cinquante ans de carrière, avec des hauts et des bas, et aujourd'hui à presque 70 ans encore un "haut" avec un nouvel album qui marche très bien et une tournée de concerts, c'est quand même exceptionnel.
Le nouvel album s'appelle "L'attente", c'est aussi le titre du premier simple et personnellement pour la première fois depuis longtemps j'aime bien une chanson de Johnny !
A quoi peuvent bien servir mes bras Si c'est pour brasser du vent Que vais-je faire de mes deux mains Si elles espèrent en vain En ce qui concerne mes yeux Ils ne voient plus que nous deux
J'ai tout fait contre J'ai rien fait pour J'ai joué la montre J'ai perdu mon tour
Pourquoi ne reviendrais-tu pas Le ciel est plus clément Pourquoi ne reviendrais-tu pas Puisque je t'attends Pourquoi ne reprendrais tu pas Un peu de mon temps Comme avant, comme avant...
A quoi peuvent bien servir mes jambes Si comme les feuilles, elles tremblent Que vais-je bien faire de mes dix doigts S'ils ne te touchent pas.
Que peuvent devenir mes yeux S'ils n'y voient plus que du feu En ce qui concerne mon front Il combat toujours ses démons.
J'ai tout fait contre J'ai rien fait pour J'ai joué la montre J'ai perdu mon tour
Pourquoi ne reviendrais-tu pas Le ciel est plus clément Pourquoi ne reviendrais-tu pas Ca fait déjà si longtemps Pourquoi ne reprendrais tu pas Un peu de mon temps Comme avant, comme avant...
Pourquoi ne reviendrais-tu pas Le ciel est plus clément Pourquoi ne reviendrais-tu pas Puisque je t'attends Pourquoi ne reprendrais tu pas Un peu de mon temps Oh comme avant, comme avant...
Hélas je suis un peu malade en ce moment et je ne pourrai pas publier d´autres notes les jours prochains. Merci à celles et ceux qui m´ont envoyé des infos, je les publie dès que possible mais pour le moment je retourne me coucher ! Bon week-end à tous !
Voici le site dont j'ai parlé avec certains de mes groupes et qui traite un sujet passionnant...la cravate de François Hollande ! Question unique et essentielle posée par ce site : la cravate de Hollande était-elle encore de travers ?
Pour les fans de Céline Dion, l'artiste francophone la plus populaire au monde. Même si elle chante la plupart du temps en anglais !
Toutefois elle vient de sortir un album en français intitulé Sans attendre. Le deuxième extrait de cet album, Le miracle, est bien et c'est une de ces chansons dont la mélodie reste très facilement dans la tête.
Serre ton bonheur quand il vient Écoute les murmures et les lents dessins Du fleuve rouge et mauve qui coule en nos seins Ses dangers, ses ravins Pleure la lumière quand elle meurt Puis hurle sous la lune comme ça l’air de rien Devant la nuit immense et jusqu’au matin Va toucher le lointain
Au-dessus de nous, dedans et tout autour Le miracle est partout mon amour Sauras-tu le voir Au cœur de nos cœurs, au-delà des contours Le miracle est partout mon amour C’est à toi de le voir
Terre ta douleur quand elle brille Partage tes envies, tes jeux, tes prodiges Le long de tes racines ces voix qui grésillent Va défier tes vertiges Brûle ton amour quand il brûle Fais feu de tout le bois dont tes bras disposent Étonne-toi du fond de ta moindre cellule N’oublie jamais les roses
Au dessus de nous dedans et tout autour Le miracle est partout mon amour Sauras-tu le voir Au cœur de nos cœurs, au-delà des contours Le miracle est en nous mon amour C’est à toi de le voir Au cœur de nos cœurs et dans le point du jour Le miracle est en nous mon amour C’est à toi de le voir
Le miracle est en nous mon amour Au-dessus de nous, dedans et tout autour Le miracle est partout mon amour Sauras-tu le voir Le miracle est en nous mon amour…
Annoncé comme la comédie française de l'hiver par les critiques et ceux qui ont déjà vu le fim, le film Populaire sort aussi en même temps ici aux Pays-Bas et en Belgique fin novembre. La première est à Zwolle au Fraterhuis. Une chance !
L'histoire: Printemps 1958. Rose Pamphyle, 21 ans, vit avec son père, veuf bourru qui tient le bazar d’un petit village normand. Elle doit épouser le fils du garagiste et est promise au destin d’une femme au foyer docile et appliquée. Mais Rose ne veut pas de cette vie. Elle part pour Lisieux où Louis Echard, 36 ans, patron charismatique d’un cabinet d’assurance, cherche une secrétaire. L’entretien d’embauche est un fiasco. Mais Rose a un don : elle tape à la machine à écrire à une vitesse vertigineuse. La jeune femme réveille malgré elle le sportif ambitieux qui sommeille en Louis… Si elle veut le poste, elle devra participer à des concours de vitesse dactylographique. Qu’importent les sacrifices qu’elle devra faire pour arriver au sommet, il s’improvise entraîneur et décrète qu’il fera d’elle la fille la plus rapide du pays, voire du monde ! Et l’amour du sport ne fait pas forcément bon ménage avec l’amour tout court…