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Pour les fans de Céline Dion, l'artiste francophone la plus populaire au monde. Même si elle chante la plupart du temps en anglais !
Toutefois elle vient de sortir un album en français intitulé Sans attendre. Le deuxième extrait de cet album, Le miracle, est bien et c'est une de ces chansons dont la mélodie reste très facilement dans la tête.
Serre ton bonheur quand il vient Écoute les murmures et les lents dessins Du fleuve rouge et mauve qui coule en nos seins Ses dangers, ses ravins Pleure la lumière quand elle meurt Puis hurle sous la lune comme ça l’air de rien Devant la nuit immense et jusqu’au matin Va toucher le lointain
Au-dessus de nous, dedans et tout autour Le miracle est partout mon amour Sauras-tu le voir Au cœur de nos cœurs, au-delà des contours Le miracle est partout mon amour C’est à toi de le voir
Terre ta douleur quand elle brille Partage tes envies, tes jeux, tes prodiges Le long de tes racines ces voix qui grésillent Va défier tes vertiges Brûle ton amour quand il brûle Fais feu de tout le bois dont tes bras disposent Étonne-toi du fond de ta moindre cellule N’oublie jamais les roses
Au dessus de nous dedans et tout autour Le miracle est partout mon amour Sauras-tu le voir Au cœur de nos cœurs, au-delà des contours Le miracle est en nous mon amour C’est à toi de le voir Au cœur de nos cœurs et dans le point du jour Le miracle est en nous mon amour C’est à toi de le voir
Le miracle est en nous mon amour Au-dessus de nous, dedans et tout autour Le miracle est partout mon amour Sauras-tu le voir Le miracle est en nous mon amour…
Annoncé comme la comédie française de l'hiver par les critiques et ceux qui ont déjà vu le fim, le film Populaire sort aussi en même temps ici aux Pays-Bas et en Belgique fin novembre. La première est à Zwolle au Fraterhuis. Une chance !
L'histoire: Printemps 1958. Rose Pamphyle, 21 ans, vit avec son père, veuf bourru qui tient le bazar d’un petit village normand. Elle doit épouser le fils du garagiste et est promise au destin d’une femme au foyer docile et appliquée. Mais Rose ne veut pas de cette vie. Elle part pour Lisieux où Louis Echard, 36 ans, patron charismatique d’un cabinet d’assurance, cherche une secrétaire. L’entretien d’embauche est un fiasco. Mais Rose a un don : elle tape à la machine à écrire à une vitesse vertigineuse. La jeune femme réveille malgré elle le sportif ambitieux qui sommeille en Louis… Si elle veut le poste, elle devra participer à des concours de vitesse dactylographique. Qu’importent les sacrifices qu’elle devra faire pour arriver au sommet, il s’improvise entraîneur et décrète qu’il fera d’elle la fille la plus rapide du pays, voire du monde ! Et l’amour du sport ne fait pas forcément bon ménage avec l’amour tout court…
Très gros succès sur les radios musicales en France: Avec toi d'Axel Tony. Ce n'est pas de la grande poésie mais il y a du sentiment et les jeunes adorent ça. Moi quand j'entends ça, j'ai l'impression d'avoir 20 ans ! Ça doit être mon côté "fleur bleue" (ou "adolescent attardé")!
Tout commence par des mots doux, On s'aime sans forcer, Puis viennent les coups bas Et le coeur est écorché. Tunisiano, Axel Tony. On oublie trop souvent tout ce qu'on s'est promis
Est ce que mes larmes suffiraient Pour te prouver, mes regrets Moi je voulais, nous faire un bel avenir Tu m'as laissé, blasé, maintenant c'est pire
[Refrain] Avec toi, Je me voyais faire ma vie Faire ma vie... Ecoute-moi Le temps d'une mélodie Mélodie...
Ecoute-moi, Juste le temps d'une petite mélodie Un être vous manque, tout est dépeuplé Notre histoire en toc a un parfum de regret. J'ai saigné, j'étais croc, un gros manque à combler Tes mots et tes caresses ont suffit à me faire succomber Hier on s'est aimé, aujourd'hui on se déteste Qu'importe où tu es partie, le mieux c'est que tu y restes Lorsque tes promesses s'échangent en coups de crosse, Petite princesse m'a donné le coup de grâce.
[Refrain]
Comment je peux faire Pour qu'au fond tu me fasses revivre ? Comment je peux faire Pour qu'au fond tu me délivres ?
[Refrain]
Maintenant j'ai compris. Maintenant j'ai appris. Aujourd'hui j'en sors plus grand. (beaucoup plus grand) Maintenant j'ai compris. Maintenant j'ai appris, Qu'elle était plus importante.
Avec son nouvel album Super Welter, le chanteur Raphaël a été unanimement salué par la critique et le premier extrait Manager marche très bien. Je trouve personnellement le succès très mérité et j'aime beaucoup ce premier simple.
Fais gaffe j'ai pas peur J'tenvoie mon manager Fais gaffe à l'amour Un week end en solo Un charter pour l'amour ça sonne comme la mort Tu vois, tu vois Bee pop a Lula Trop de Blues Dans nos combats de lose, de dogmes, de romans fleuves épuisés
eh eh eh eh
Un low cost pour l'enfer eh eh eh eh Un low cost pour l'enfer eh eh eh eh Un pipeline traverse l'air Sur les parkings on attend on attend Comme des rats morts Que le temps nous dévore On attend, attend, attend, attend Fais gaffe à l'amour ça te tombe dessus un jour Sans qu'taies pu rien y faire
eh eh eh eh Fais gaffe j'ai pas peur J'tenvoie mon manager Fais gaffe à l'amour Un week end en solo Un charter pour l'amour ça sonne comme la mort Tu vois, tu vois Bee pop a Lula Trop de Blues Dans nos combats de lose, de dogmes, de romans fleuves épuisés
eh eh eh eh
Un low cost pour l'enfer eh eh eh eh Un low cost pour l'enfer eh eh eh eh Un pipeline traverse l'air Sur les parkings on attend on attend Comme des rats morts Que le temps nous dévore On attend, attend, attend, attend Fais gaffe à l'amour ça te tombe dessus un jour Sans qu'taies pu rien y faire
Voici un lien vers un joli film, avec une polémique entre les deux capitaines d’industrie d’automobile, André Citroën et Louis Renault et un joli poème de Jacques Prévert directement lié à ce film. On comprends mieux ce poème de Prévert après avoir vu le film.
(Merci Cees ! Très intéressant et tellement actuel! J'ajoute à votre message la vidéo de Prévert lisant lui-même son poème)
Citroën
À la porte des maisons closes,
C’est une petite lueur qui luit…
Quelque chose de faiblard, de discret,
Une petite lanterne, un quinquet.
Mais sur Paris endormi, une grande lueur s’étale :
Une grande lueur grimpe sur la tour,
Une lumière toute crue.
C’est la lanterne du bordel capitaliste,
Avec le nom du tôlier qui brille dans la nuit.
Citroën ! Citroën !
C’est le nom d’un petit homme,
Un petit homme avec des chiffres dans la tête,
Un petit homme avec un drôle de regard derrière son lorgnon,
Un petit homme qui ne connaît qu’une seule chanson,
Toujours la même.
Bénéfices nets…
Une chanson avec des chiffres qui tournent en rond,
Cette annéannée encore j'auraisaurai le plaisir de présenter "La dictée" de l'Alliance française de Zwolle qui se déroulleradéroulera jeudi 1er novembre au Refter. Venez testétester votre nivoniveau pour le plaisir !
Pour s'incrire et avoir plus de détaildétails rendez-vous sur le site de l'Alliance : ici.
Envoyé par Herman ce diaporama est consacré au grand classique de Pierre Bachelet "Les corons". La chanson date de 1982 et elle est devenue la chanson la plus associée à la région Nord, plus particulièrement aux anciennes mines de charbon et surtout aux mineurs bien entendu. Toutes les explications sur le texte de la chanson sont grâce aux photos dans le diaporama. Merci Herman !
Au nord, c´étaient les corons La terre c´était le charbon Le ciel c´était l´horizon Les hommes des mineurs de fond
Nos fenêtres donnaient sur des f´nêtres semblables Et la pluie mouillait mon cartable Et mon père en rentrant avait les yeux si bleus Que je croyais voir le ciel bleu J´apprenais mes leçons, la joue contre son bras Je crois qu´il était fier de moi Il était généreux comme ceux du pays Et je lui dois ce que je suis
{Refrain}
Et c´était mon enfance, et elle était heureuse Dans la buée des lessiveuses Et j´avais des terrils à défaut de montagnes D´en haut je voyais la campagne Mon père était "gueule noire" comme l´étaient ses parents Ma mère avait les cheveux blancs Ils étaient de la fosse, comme on est d´un pays Grâce à eux je sais qui je suis
{Refrain}
Y avait à la mairie le jour de la kermesse Une photo de Jean Jaures Et chaque verre de vin était un diamant rose Posé sur fond de silicose Ils parlaient de 36 et des coups de grisou Des accidents du fond du trou Ils aimaient leur métier comme on aime un pays C´est avec eux que j´ai compris