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La saison 2010 de la Nouvelle star (Idols) a commencé. C'est une émission que j'aime bien et je sais que certains d'entre vous l'apprécient aussi. La saison dernière avait été un peu décevante (à part la découverte de Camélia Jordana, voir ici) mais celle-ci se présente beaucoup mieux. Voici ma favorite (pour le moment!) elle s'appelle Luce. Elle est étonnante et détonante!
Comme promis voici donc la chanson entendue à la fin du film, vu avec (presque) tous les participants à mes cours, Le petit Nicolas. La chanson est de Renan Luce et s'appelle Une bêtise près.
On n'est pas à une bêtise près Faisons la et voyons après Tu verras qu'un saut dans une flaque Ca vaut bien toutes les paires de claques
On n'est pas à une bêtise près Faisons la et voyons après Tu verras qu'sonner aux portes Et s'enfuir avant qu'on sorte Ca vaut l'coup
Mes bonnes bêtises J'm'en souviendrai toujours A croire qu'y'avait un concours Du truc le plus interdit A faire un mercredi
Mes bonnes bêtises Elles ne sont pas si loin J'revois encore le coin J'y grattais pendant un bail La peinture qui s'écaille
Notre poésie c'était peinard Et sans corbeau et sans renard Qu'on l'écrivait A grands coups d'pieds dans un ballon Une vitre en moins j'prends du galon J'grandissais
On n'est pas à une bêtise près Faisons la et voyons après Tu verras qu'un saut dans une flaque Ca vaut bien toutes les paires de claques
On n'est pas à une bêtise près Faisons la et voyons après Tu verras qu'sonner aux portes Et s'enfuir avant qu'on sorte Ca vaut l'coup
Les bonnes bêtises C'était entre copains Qu'importe si t'étais rupin On était tous l'égal D'notre frangin de mandale Mais les bonnes bêtises On a beau les faire en bande Y'a une règle dans la truande C'est à celui qui s'y colle Qu'il arrive des bricoles
Ma plus belle fable sans aucun doute Celle du crapaud et du mammouth Qui explose Depuis que j'l'ai touchée au lance-pierre Ma p'tite sœur garde une paupière Mi-close
On n'est pas à une bêtise près Faisons la et voyons après
Tu verras qu'un saut dans une flaque Ca vaut bien toutes les paires de claques
On n'est pas à une bêtise près Faisons la et voyons après Tu verras qu'sonner aux portes Et s'enfuir avant qu'on sorte Ca vaut l'coup
On n'est pas à une bêtise près Faisons la et voyons après Tu verras qu'un saut dans une flaque Ca vaut bien toutes les paires de claques
On n'est pas à une bêtise près Faisons la et voyons après Tu verras qu'sonner aux portes Et s'enfuir avant qu'on sorte Ca vaut l'coup
Amusant: une chanteuse coréenne remporte un grand succès là-bas (en Corée) avec une reprise d'un vieux tube disco français: Nuit de folie. Ce qui est amusant c'est qu'elle chante le texte phonétiquement. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que son français est très approximatif ! On espère que les petits coréens n'apprennent pas le français avec cette chanson !!
Premier extrait de l'album de Camélia Jordana révélée l'année dernière par l'émission La nouvelle star. C'est léger, frais, vivant et bien écrit. Bref j'aime bien !
Non non non (écouter Barbara)
Combien de fois faut-il Vous le dire avec style Je ne veux pas sortir au Baron
Non, non, non, non Je ne veux pas prendre l'air Non, non, non, non Je ne veux pas boire un verre Non, non, non, non Je ne veux pas l'oublier Non, non, non, non Je ne veux pas m'en passer
Je veux juste Aller mal et y'a pas de mal à ça Trainer, manger que dalle Écouter Barbara Peut-être il reviendra
Non, je ne veux pas faire un tour A quoi ça sert de faire un tour Non, je ne veux pas me défaire De ce si bel enfer Qui commence à me plaire Je ne veux pas quitter mon salon
Non, non, non, non Je ne veux pas prendre l'air Non, non, non, non Je ne veux pas boire un verre Non, non, non, non Je ne veux pas l'oublier Non, non, non, non Je ne veux pas m'en passer
Je veux juste Aller mal et y'a pas de mal à ça Trainer, manger que dalle Écouter Barbara Peut-être il reviendra
Non, je ne veux pas aller mieux A quoi ça sert d'aller mieux Non, je ne veux pas m'habiller Non plus me maquiller Laissez-moi m'ennuyer Arrêtez avec vos questions
Non, non, non, non Je ne veux pas prendre l'air Non, non, non, non Je ne veux pas boire un verre Non, non, non, non Je ne veux pas l'oublier Non, non, non, non Je ne veux pas m'en passer
Je veux juste Aller mal et y'a pas de mal à ça Trainer, manger que dalle Écouter Barbara Peut-être il reviendra
Jean Ferrat est mort. Quand j'étais petit je détestais ses chansons, en grandissant j'ai appris à aimer ses textes et sa voix. Ici aux Pays-Bas on le connaissait surtout grâce à la version néerlandaise de sa chanson "La montagne" (Het dorp).
Alors tu vois, comme tout se mêle Et du coeur à tes lèvres, je deviens un casse-tête Ton rire me crie, de te lâcher Avant de perdre prise, et d’abandonner Car je ne t’en demanderai jamais autant Déjà que tu me traites, comme un grand enfant Nous n’avons plus rien à risquer A part nos vies qu’on laisse de côté Mais il m’aime encore, et moi je t’aime un peu plus fort Mais il m’aime encore, et moi je t’aime un peu plus fort - C’en est assez de ces dédoublements C’est plus dure à faire, qu’autrement Car sans rire c’est plus facile de rêver A ce qu’on ne pourra, jamais plus toucher On se prend la main, comme des enfants Le bonheur aux lèvres, un peu naïvement Et on marche ensemble, d’un pas décidé Alors que nos têtes nous crient de tout arrêter
Il m’aime encore, et toi tu t’aime un peu plus fort Mais il m’aime encore, et moi je t’aime un peu plus fort Mais il m’aime encore, et moi je t’aime un peu plus fort Mais il m’aime encore, et moi je t’aime un peu plus fort - Encore, et moi je t’aime un peu plus fort Mais il m’aime encore, et moi je t’aime pas plus fort
Malgré ça il m’aime encore, et moi je t’aime un plus fort Mais il m’aime encore, et moi je t’aime un peu plus fort
Ma préférée de Gainsbourg, je l'ai chantée à tous mes enfants (et au petit dernier aussi!). Quel beau texte !
Vidéo de la version la plus récente, peu avant sa mort. J´aime aussi l´original de 1963 mais cette version a quelque chose de touchant, voir hypnotisant.
J'avoue, j'en ai bavé, pas vous, mon amour Avant d'avoir eu vent de vous, mon amour Ne vous déplaise, en dansant la javanaise Nous nous aimions, le temps d'une chanson
A votre avis, qu'avons-nous vu de l'amour De vous à moi, vous m'avez eu, mon amour Ne vous déplaise, en dansant la javanaise Nous nous aimions, le temps d'une chanson
Hélas, Avril en vain me voue à l'amour J'avais envie de voir en vous cet amour Ne vous déplaise, en dansant la javanaise Nous nous aimions, le temps d'une chanson
La vie ne vaut d'être vécue sans amour Mais c'est vous qui l'avez voulu, mon amour Ne vous déplaise, en dansant la javanaise Nous nous aimions, le temps d'une chanson
Christophe Maé et William Baldé chantent la chanson de Gainsbourg "Couleur café". Un texte tout simple et plein de subtilités comme (presque) tous les textes de Gainsbourg.
J'aime ta couleur café Tes cheveux café Ta gorge café J'aime quand pour moi tu danses Alors j'entends murmurer Tous tes bracelets Jolis bracelets A tes pieds ils se balancent
Couleur café Que j'aime ta couleur café
C'est quand même fou l'effet L'effet que ça fait De te voir ainsi rouler Des yeux et des hanches Si tu fais comme le café Rien qu'à m'énerver Rien qu'à m'exciter Ce soir la nuit sera blanche
Couleur café Que j'aime ta couleur café
L'amour sans philosopher C'est comme le café Très vite passé Mais que veux-tu que j'y fasse On en a marre de café Et c'est terminé Pour tout oublier On attend que ça se tasse
Pour faire plaisir à Herman et aussi parce que moi aussi je l'aime bien, voici Nolwenn Leroy, jeune et charmante chanteuse prometteuse. La chanson s'appelle Textile schizophrène.
Allongée nue sur vichy rose, je suis Bardot. Malsaine osmose sur des rayures, c'est Jo Dalton. Tissus à fleurs, romantique Hamilton. Délirante ou austère, pétillante ou sévère.
Je me transforme, je déteins et je migre, je m'assombris, m'éclaircis. Je me transfère, me dédouble, multiplie, multiplie Jusqu'à ne plus savoir qui je suis.
Sur un Tartan, je cours la lande à tous les vents. Sur pointillés, je change d'optique pour me diluer Mante Orchidée en velours dévoré Ou tailleur Prince de Galles, quatre-vingt, Lady Di.
Je me transforme, je déteins et je migre, je m'assombris, m'éclaircis. Je me transfère, me dédouble, multiplie, multiplie Jusqu'à ne plus savoir qui je suis.
J'aime à me dire quand je m'habille C'est l'emballage qui fait la fille Pour camoufler, peut-être pire, mentir, mentir.
Je me transforme, je déteins et je migre, je m'assombris, m'éclaircis. Je me transfère, me dédouble, multiplie, multiplie Jusqu'à ne plus savoir qui je suis.
Comme promis la chanson étudiée avec les groupes de conversation "Travailler plus" du groupe Tryo.
On n'a pas voté pour travailler plus.
Je pensais avoir gagné mes 35 heures Dur labeur que l'usine d'être ramoneur Je suis le monde ouvrier, je suis l'agriculteur Pas peur de travailler, marre d'être mal payé Je pensais avoir gagné mes 35 heures Je suis l'infirmière, je suis l'instituteur Quarante élèves par classe, Les urgences qui n'ont plus de place Les heures sup' ça nous connaît, On n'a pas le choix et on les fait.
Mais qui a voté pour travailler plus? Pour gagner plus J'ai pas décidé de travailler plus Pour gagner.
Je pensais que le monde allait changer Que le temps libre, être libéré, avait son intérêt Les emplois des métiers d'avenir Une économie d'écologie et de loisirs Je pensais que le monde allait changer Que nos conneries nous avaient raisonné Que le partage des bénéfices irait dans le sens de la justice Y a du vice Je pense trop mais je dois pas être trop con Je l'ai bien vu le gros bateau qu'a acheté mon patron Moi je joue au loto, 30 ans de crédit pour ma maison Et si je lève le gros lot, je crois que j'arrêterais mon boulot.
On n'a pas voté pour travailler plus Pour gagner plus J'ai pas décidé de travailler plus.
Je pensais avoir milité pour une augmentation Je voulais pouvoir emmener les gosses au parc d'attractions Le vendredi après-midi, je faisais les commissions Et le samedi et dimanche, je m'occupais des rejetons Je pensais avoir milité pour d'autres horizons Mais les échanges boursiers ne sont pas d' mon opinion.
En vacances hors de France, le boss et mon patron Ont décidé que les heures sup' seraient ma destination.
Je pense qu'un jour, on va tous y venir Le moment fatal de devoir réfléchir Si l'homme et le travail sont unis à en mourir Si comme des ânes on va bosser et ne rien dire Je pense que le boss passe bien à la télé Mais que l'avenir de mes gosses n'est pas dans ses idées Que le temps, le vent, les amis, l'écologie Font partie de la vie Et c'est pour ça que j'ai pas choisi
De travailler plus Pour gagner plus On n'a pas voté pour travailler plus