Comme promis voici donc la chanson Petit papa Noël, le grand classique de Noël, version (jeune) Céline Dion et version originale de Tino Rossi.
Céline Dion
Tino Rossi
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Comme promis voici donc la chanson Petit papa Noël, le grand classique de Noël, version (jeune) Céline Dion et version originale de Tino Rossi.
Céline Dion
Tino Rossi
Nouvel extrait de l'album "Volume 10" de Marc Lavoine: Reviens mon amour. Un joli texte sur de belles images, tout en douceur.
(note précédente sur la chanson Je rêve de ton cul)
D'abord, j'ai perdu ma langue et puis j'ai perdu mes clefs
Ensuite, j'ai perdu le nord, la tête un soir d'été
J'ai perdu mon adresse et puis j'ai perdu mon âme, j'ai perdu mon chemin
J'ai perdu d'avance, j'ai perdu la guerre
J'ai perdu le sens de l'humour, des affaires
Et puis j'ai perdu la mémoire, j'ai perdu le sourire
Le jour où j'ai perdu mon père, j'ai perdu à la loterie
Oh, viens me retrouver, reviens mon amour.
Pour dix de retrouvées, je n'ai qu'un amour.
Oh, viens me retrouver, reviens mon amour.
Pour dix de retrouvées, je n'ai qu'un amour.
Alors, j'ai perdu ma jeunesse et puis j'ai perdu confiance
J'ai perdu au poker, j'ai perdu la conscience
J'ai perdu la beauté, le goût, le toucher
J'ai perdu mes papiers, j'ai perdu mon identité
J'ai perdu la raison, j'ai perdu ma maison
J'ai perdu à tort ou à raison, j'ai perdu mon enfance
Et puis je t'ai perdue, j'ai perdu mon aimé
Il me reste la vie, j'ai perdu à la loterie
Oh, viens me retrouver, reviens mon amour.
Pour dix de retrouvées, je n'ai qu'un amour.
Oh, viens me retrouver, reviens mon amour.
Pour dix de retrouvées, je n'ai qu'un amour.
D'abord, j'ai perdu ma langue et puis j'ai perdu mes clefs
Ensuite, j'ai perdu le nord, la tête un soir d'été
J'ai perdu mon adresse et puis j'ai perdu mon âme
J'ai perdu mon chemin
J'ai perdu d'avance, j'ai perdu la guerre
J'ai perdu le sens de l'humour, des affaires
Et puis j'ai perdu la mémoire, j'ai perdu le sourire
Le jour où j'ai perdu mon père, j'ai perdu à la loterie
Oh, viens me retrouver, reviens mon amour.
Pour dix de retrouvées, je n'ai qu'un amour.
Oh, viens me retrouver, reviens mon amour.
Pour dix de retrouvées, je n'ai qu'un amour.
Nous avons parlé avec le cercle des amis (I) de Ramses Shaffy et je disais que je me souvenais d'une chanson de Serge Reggiani dont Shaffy chantait la version néerlandaise avec Liesbeth List et Alderliefste. Je ne me souvenais plus du titre mais je l'ai retrouvé, il s'agissait de la chanson "Vivre" (titre original: "ma dernière volonté") intitulée "Laat me" en néerlandais.
Pour m'excuser auprès des participants à mes cours de mardi dernier et pour les remercier pour leurs messages de soutien suite à la rage de dent qui m'a violemment frappé en ce début de semaine, je vous propose cette petite chanson de circonstance. Je l'avait déjà placée sur le site lors du décès du regretté Henri Salvadore.
Le blues du dentiste (ici avec Bénabar)
Ce matin-là en me levant
J'avais bien mal aux dents
Oh oh la la
J'sors de chez moi
Et j'fonce en pleurant
Chez un nommé Durand, Mm, Mm
Qu'est dentiste de son état
Et qui pourra m'arranger ça
La salle d'attente est bourrée de gens
Et pendant que j'attends oh oh la la
Sur un brancard
Passe un mec tout blanc
Porté par deux mastards Mm Mm
Je m'lève déjà pour fout' le camp
Mais l'infirmier dit : "Au suivant !"
Je suis debout devant le dentiste
Je lui fais un sourire de crétin
I m'pouss' dans l'fauteuil et me crie : "En piste."
Il a des tenailles à la main
Oh oh oh oh Maman
J'ai les guiboll's en fromag' blanc-anc
Avant même que j'ai pu faire ouf
Il m'fait déjà sauter trois dents
En moins d'un' plombe mes pauvres molaires
Sont r'tournées dans leur tombe
Oh oh la la
Voilà qui m'plombe
Mes deux plus bell's dents
Cell's que j'ai par devant Mm Mm
I' m'grill' la gueul' au chalumeau
Et il me file un grand verre d'eau
Il me dit faut régler votre dette
Je venais d'être payé la veille
Ce salaud me fauche tout mon oseille
Et me refile cinquante ball' net
Oh oh oh oh Maman
Et il ajoute en rigolant
J'suis pas dentist' je suis plombier
Entre voisins faut s'entr' aider
Oh oh
Et moi je gueul' ce soir
Le blues du dentiste dans le noir
Ce week-end je suis dans la musique et j'ai envie de partager! Une belle chanson de Barbara joliment interprétée par Jean-Louis Aubert.
Dis quand reviendras-tu ?
Voilà combien de jours, voilà combien de nuits,
Voilà combien de temps que tu es reparti
Tu m'as dit: "Cette fois, c'est le dernier voyage"
Pour nos coeurs déchirés, c'est le dernier naufrage
Tu m'as dit:"Au printemps, je serai de retour
Le printemps, c'est joli pour se parler d'amour
Nous irons voir ensemble les jardins refleurir
Et déambulerons dans les rues de Paris!"
REFRAIN:
Dis, quand reviendras-tu?
Dis, au moins le sais-tu
Que tout le temps qui passe
Ne se rattrape guère...
Que tout le temps perdu
Ne se rattrape plus!
Le printemps s'est enfui depuis longtemps déjà
Craquent les feuilles mortes, brûlent les feux de bois
À voir Paris si beau en cette fin d'automne
Soudain je m'alanguis, je rêve, je frissonne
Je tangue, je chavire, et comme la rengaine
Je vais, je viens, je vire, je tourne, je me traîne
Ton image me hante, je te parle tout bas
Et j'ai le mal d'amour, et j'ai le mal de toi
REFRAIN
J'ai beau t'aimer encore, j'ai beau t'aimer toujours
J'ai beau n'aimer que toi, j'ai beau t'aimer d'amour
Si tu ne comprends pas qu'il te faut revenir
Je ferai de nous deux mes plus beaux souvenirs
Je reprendrai la route, le monde m'émerveille
J'irai me réchauffer à un autre soleil
Je ne suis pas de ceux qui meurent de chagrin
Je n'ai pas la vertu des femmes de marins
REFRAIN
Christophe est un cas à part dans la chanson française, considéré comme un dandy un peu superficiel dans les années 60-70, il a acquis depuis une toute autre dimension et il est devenu un chanteur rare et d'une intensité exceptionnelle. Cette chanson, reprise par beaucoup, est une chanson culte, à lire comme une poésie. Ici interprétée par le maître en personne.
Les mots bleus
Après un succès foudroyant la chanteuse-rappeuse Diam's a connu une longue période de doute et de dépression probablement confrontrée comme beaucoup aux paradoxes générés par la gloire, l'argent et les idées qu'elle voulait défendre. Aujourd'hui elle revient avec un nouvel album plein de force et de fond, elle provoque encore et toujours la polémique et c'est bon signe. J'aimais Diam's tout au début je l'aime encore aujourd'hui parce que ses mots ont un sens. On n'est pas obligé d'être d'accord avec tout ce qu'elle dit mais elle au moins, dans cette société si souvent aseptisée, a quelque chose à dire !
Premier extrait de son album: Enfants du désert
Je suis sortie de ma bulle,
J’ai pris le temps de regarder le monde et d’observer la lune,
Donc voici la nouvelle Diam’s en paix avec elle-même,
J’préfère qu’ça parte aux enfants du désert… ok, ok…
La vie n’est qu’une course et moi j’étais première dans les starters,
Qu’est-ce t’as à faire quand t’as pas de père hein ?
Dis-moi, qu’est-ce t’as à perdre ? Rien !
Alors tu cours après le flouze, tu coules, sous les coups tu l’ouvres,
Tu cours, tu cours, tu souffres et puis tu prouves,
Bah ouais mec ! Faut être honnête ! Mes troubles m’ont rendue poète
Au point qu’on mette à ma dispo de quoi me doucher au Moët
Hélicoptère, taxi et Jet, je suis montée sans mes tickets,
Du ter-ter t’accèdes au Ciel, mais tout à coup tu fais pitié,
Quand t’as de l’oseille ouais, trop peuvent crève, trop veulent test mec
Ton père revient te check, ton pire ennemi devient ton ex, ouais !
Petite princesse j’ n’ai fait que fuir pour mieux reluire,
Première ou Business au pire, tant qu’ j’avais des sièges en cuir,
Dans cette course aux billets roses j’ai vu mourir mes héros,
Dans les coulisses, ça sent la coke et chez les stars c’est l’héro,
Moi comme une tache, j’ai couru après le commerce et les dollars,
Au point d’avoir au poignet la même Rolex que Nicolas
Alors j’ suis…
REFRAIN
Sortie de ma bulle,
J’ai pris le temps de regarder l’Afrique et de contempler la lune,
Cette société n’est qu’une enclume,
J’ai couru après le fric, quitte à y laisser ma plume,
Dans cette course au succès, j’crois que j’ai connu l’enfer,
Ma soeur, mon frère, j’préfère qu’ça parte aux enfants du désert,
Car je n’emporterai rien sous terre.
Alors j’ai défoncé des portes, collectionné les cartes à code,
Black ou Gold, après le iPhone il m’ faut le Bold et le Ipod,
Et puis la Xbox connectée à la Wii Fit,
Soirée Sim’s entre filles, on se connecte en Wifi,
Oui, je suis « in », on dit que j’ suis branchée, un peu comme vous tous,
Nan, j’ veux pas vous déranger, j’passerai plus tard en Bluetooth,
A l’aise dans mes Air Force, je rêvasse en Airport,
Et puis j’écris des raps hardcore sur le tarmac d’ l’aéroport,
J’ai à l’index la même bague que Carla,
Mais elle ne me sert à rien sous les étoiles de Dakhla,
Désert de sable contre désert de désespoir,
Elle a des airs de victoire ma jeunesse, mais pas le choix des armes,
Vu que l’Etat nous prive de tout, elle trime et tousse,
Poussée par le crime, elle trouve refuge dans le Din ou au trou,
Triste pays qui compte sur les voix de Le Pen,
Pour qu’accèdent au sommet des gros capitalistes de merde,
Alors j’ suis…
REFRAIN
Petite banlieusarde issue du 91, fière de mon Essonne,
Fière de mon essor, j’ voulais qu’ ma voix résonne dans tous les stores,
Et puis si Dieu teste les hommes, je veux être digne d’aimer,
Et à tous ceux qui triment, sachez qu’ je veux être digne de vous aider,
Parce qu’aujourd’hui j’ai tout connu, l’opulence et la thune,
La déprime, les écus, les ambulances et la rue,
Je sais de quoi je suis capable, je sais de quoi l’Etat est coupable,
Lui qui débloque des milliards, mais jamais pour le contribuable, non !
Moi la boulette, je suis patronne et millionnaire,
C’était soit l’humanitaire, soit tenter d’être billionaire,
J’ai fait mon choix et je t’emmerde, désormais qui m’aime me suive,
Désormais qui m’aime me traîne, beaucoup plus haut que je ne vise,
J’ai besoin d’aide dans ma révolte, besoin de vivres dans ma récolte,
Besoin des cris de mon public, car j’ai besoin de bénévoles,
A c’ qui paraît on est des nazes, à c’ qui paraît faudrait qu’on s’ casse,
Venez, on sort de nos cases, venez, on se sert de Marianne pour
Sortir de nos bulles,
Et prendre le temps de regarder l’Afrique et de contempler la lune,
Cette société n’est qu’une enclume,
Elle nous fait courir après le fric, quitte à y laisser des plumes,
Dans cette course au succès, j’crois que l’on côtoie l’Enfer,
Ma soeur, mon frère, on est aussi des enfants du désert,
Et on a tous un rôle à jouer sur Terre,
Donc j’ suis…
REFRAIN
Donc, j’ suis sortie de ma bulle, sortie de ma bulle, sortie de ma bulle….
Son premier grand succès: la boulette
Une ancienne chanson que j'ai beaucoup aimée: Par amour (le texte est en dessous de la vidéo)
Je viens de voir un film magnifique que je vous recommande: Deux jours à tuer de Jean Becker. La chanson-titre de ce film est une superbe chanson de Serge Regianni que j'avais oubliée: Le temps qui reste.
Combien de temps...
Combien de temps encore
Des années, des jours, des heures, combien ?
Quand j'y pense, mon coeur bat si fort...
Mon pays c'est la vie.
Combien de temps...
Combien ?
Je l'aime tant, le temps qui reste...
Je veux rire, courir, pleurer, parler,
Et voir, et croire
Et boire, danser,
Crier, manger, nager, bondir, désobéir
J'ai pas fini, j'ai pas fini
Voler, chanter, parti, repartir
Souffrir, aimer
Je l'aime tant le temps qui reste
Je ne sais plus où je suis né, ni quand
Je sais qu'il n'y a pas longtemps...
Et que mon pays c'est la vie
Je sais aussi que mon père disait :
Le temps c'est comme ton pain...
Gardes-en pour demain...
J'ai encore du pain
Encore du temps, mais combien ?
Je veux jouer encore...
Je veux rire des montagnes de rires,
Je veux pleurer des torrents de larmes,
Je veux boire des bateaux entiers de vin
De Bordeaux et d'Italie
Et danser, crier, voler, nager dans tous les océans
J'ai pas fini, j'ai pas fini
Je veux chanter
Je veux parler jusqu'à la fin de ma voix...
Je l'aime tant le temps qui reste...
Combien de temps...
Combien de temps encore ?
Des années, des jours, des heures, combien ?
Je veux des histoires, des voyages...
J'ai tant de gens à voir, tant d'images..
Des enfants, des femmes, des grands hommes,
Des petits hommes, des marrants, des tristes,
Des très intelligents et des cons,
C'est drôle, les cons ça repose,
C'est comme le feuillage au milieu des roses...
Combien de temps...
Combien de temps encore ?
Des années, des jours, des heures, combien ?
Je m'en fous mon amour...
Quand l'orchestre s'arrêtera, je danserai encore...
Quand les avions ne voleront plus, je volerai tout seul...
Quand le temps s'arrêtera..
Je t'aimerai encore
Je ne sais pas où, je ne sais pas comment...
Mais je t'aimerai encore...
D'accord ?
Comme promis à certains d'entre vous, voici donc la chanson de Renaud que nous avons étudiée ensemble: C'est quand qu'on va où ?
Je m'suis chopé 500 lignes :
"Je n'dois pas parler en classe"
Ras l'bol de la discipline !
Y'en a marre c'est digoulasse !
C'est même pas moi qui parlais,
Moi j'répondais à Arthur
Qui m'demandait, en anglais,
Comment s'écrit No Future
Si on est punis pour ça
Alors je dis : 'Halte à tout ! '
Explique-moi, Papa,
C'est quand qu'on va où ?
C'est quand même un peu galère
D'aller chaque jour au chagrin
Quand t'as tell'ment d'gens sur Terre
Qui vont pointer chez "fous-rien"
'vec les d'voirs à la maison
J'fais ma s'maine de soixante heures,
Non seul'ment pour pas un rond
Mais en plus pour finir chômeur!
Veulent me gaver comme une oie
'vec des matières indigestes,
J'aurais oublié tout ça
Quand j'aurai appris tout l'reste,
Soulève un peu mon cartable,
L'est lourd comme un cheval mort,
Dix kilos d'indispensable
Théorèmes de Pythagore !
Si j'dois avaler tout ça
Alors je dis : 'Halte à tout ! '
Explique-moi, Papa,
C'est quand qu'on va où ?
L'essentiel à nous apprendre
C'est l'amour des livres qui fait
Qu'tu peux voyager d'ta chambre
Autour de l'humanité,
C'est l'amour de ton prochain,
Même si c'est un beau salaud,
La haine ça n'apporte rien,
Pis elle viendra bien assez tôt
Si on nous apprend pas ça
Alors je dis : 'Halte à tout ! '
Explique-moi, Papa,
C'est quand qu'on va où ?
Quand j's'rais grande j'veux être heureuse,
Savoir dessiner un peu,
Savoir m'servir d'une perceuse,
Savoir allumer un feu,
Jouer peut-être du violoncelle,
Avoir une belle écriture,
Pour écrire des mots rebelles
A faire tomber tous les murs !
Si l'école permet pas ça
Alors je dis : 'Halte à tout ! '
Explique-moi, Papa,
C'est quand qu'on va où ?
Tu dis que si les élections
Ça changeait vraiment la vie,
Y a un bout d'temps, mon colon,
Qu'voter ça s'rait interdit !
Ben si l'école ça rendait
Les hommes libres et égaux,
L'gouvernement décid'rait
Qu'c'est pas bon pour les marmots!
Si tu penses un peu comme moi
Alors dit :"Halte à tout"
Et maint'nant, Papa,
C'est quand qu'on va où ?
Si tu penses un peu comme moi
Alors dit :"Halte à tout"
Et maint'nant, Papa,
C'est quand qu'on va où ?
Le nouveau clip vidéo de Gérard De Palmas "Dans une larme" extrait de son dernier album. J'aime beaucoup !
Plonger au fond de la mer
As-tu déjà essayé ?
Et au centre de la terre
Qu’il y a-t-il dans l’obscurité ?
Les étoiles et leurs poussières
Sais-tu ce qu’il s’est passé ?
Derrière le soleil qui nous éclaire
Y es tu déjà allé ?
Dans une larme tout l’univers
Une larme au goût amer
Une larme pour oublier
Que je suis incapable d’aimer
Ma foi me désespère
Mais je veux bien t’écouter
Le paradis et l’enfer
Quel manque de subtilité
Perdu dans mon labyrinthe
Je continue à chercher
Des années que je m’éreinte
De plus en plus enfermé
Dans une larme tout l’univers
Une larme au goût amer
Une larme pour oublier
Que je suis incapable d’aimer
Ce sentiment qui me bouleverse
Comment peux-tu l’expliquer
Tout cet amour qui me renverse
Je ne sais pas l’exprimer
Dans une larme tout l’univers
Une larme au goût amer
Une larme pour oublier
Que je suis incapable d’aimer