En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
La tour Eiffel est en bonne santé. C'est la conclusion d'un bilan effectué grâce à un tout nouveau modèle numérique. Une bonne nouvelle pour les près de 7 millions de touristes qui visitent chaque année le monument (payant) le plus fréquenté du monde.
La chanson qui a illustré ces quelques semaines passées à parler des animaux de compagnie, chiens chats hamsters et autres bébêtes, avec mes groupes de conversation: Ouvrez la cage aux oiseaux. Cette chanson fait partie des classiques de la chanson française comme de nombreuses autres chansons de Pierre Perret. Je pourrais citer Les colonies de vacances, Lily, Mon petit Loup, Le zizi..etc. Toute ma jeunesse !
Pour en savoir plus sur Pierre Perret (hélas assez inconnu en dehors de la France): le site officiel
Ci-dessous Ouvrez la cage aux oiseaux (audio) et une chanson que j'aimais beaucoup quand j'étais gamin (et aujourd'hui encore!): Le zizi (1974)
Ouvrez ouvrez la cage aux oiseaux Regardez-les s'envoler c'est beau Les enfants si vous voyez Des p'tits oiseaux prisonniers Ouvrez-leur la porte vers la liberté
Un p'tit dé à coudre Et trois goutt' d'eau dedans Au d'ssus du perchoir Un os de seiche tout blanc Et un petit piaf triste de vivre en prison Ça met du soleil dans la maison C'est c' que vous diront Quelques rentiers vicelards Des vieux schnocks Qui n'ont qu' des trous d'air Dans l' cigare Une fois dans vot' vie, Vous qui êtes pas comme eux Faites un truc qui vous rendra heureux
Si vot' concierge fait cui-cui sur son balcon Avec ses perruches importées du Japon Ses canaris jaunes et ses bengalis A vot' tour faites leur guili-guili Sournoisement exclamez vous " Dieu ! quel plumage ! " Mais chère Madame On vous demande au 3ème étage Et dès que la bignole aura l' dos tourné Même si on doit pas vous l' pardonner
Ouvrez, ouvrez la cage aux oiseaux Regardez les s'envoler, c'est beau les enfants si vous voyez Des petits oiseaux prisonniers Ouvrez-leur la porte vers la liberté
Le zizi
Afin de nous ôter nos complexes Ô gué, ô gué On nous donne des cours sur le sexe Ô gué, ô gué On apprend la vie secrète Des angoissés d' la bébête Ou de ceux qui trouvent dégourdi De montrer leur bigoudi Une institutrice très sympathique Nous en explique toutes la mécanique Elle dit nous allons planter le décor Ô gué, ô gué De l'appareil masculin d'abord Ô gué, ô gué Elle s'approche du tableau noir On va p' têt' enfin savoir Quel est ce monstre sacré qui a donc tant de pouvoir Et sans hésiter elle nous dessine Le p'tit chose et les deux orphelines
{Refrain:} Tout tout tout Vous saurez tout sur le zizi Le vrai, le faux Le laid, le beau Le dur, le mou Qui a un grand cou Le gros touffu Le p'tit joufflu Le grand ridé Le mont pelé Tout tout tout tout Je vous dirai tout sur le zizi
Des zizis y'en a d'toutes les couleurs Ô gué, ô gué Des boulangers jusqu'aux ramoneurs Ô gué, ô gué J'en ai vu des impusilfs Qui grimpaient dans les calcifs J'en ai vu de moins voraces Tomber dans les godasses Çui d'un mécanicien en détresse Qui a jamais pu réunir ses pièces Y a le zizi tout propre du blanchisseur Ô gué, ô gué Celui qui amidonne la main de ma sœur Ô gué, ô gué J'ai vu le zizi d'un curé Avec son p'tit chapeau violet Qui juste en pleine ascension Fait la génuflexion Un lever de zizi au crépuscule Et celui du pape qui fait des bulles
{au refrain}
Le zizi musclé chez le routier Ô gué, ô gué Se reconnaît à son gros col roulé Ô gué, ô gué J'ai vu le zizi affolant D'un trapéziste ambulant Qui apprenait la barre fixe à ses petits-enfants L'alpiniste et son beau pic à glace Magnifique au-dessus des Grandes Jorasses J'ai vu le grand zizi d'un p'tit bedeau Ô gué, ô gué Qui sonne l'angélus les mains dans le dos Ô gué, ô gué Celui d'un marin breton Qui avait perdu ses pompons Et celui d'un juif cossu Qui mesurait le tissu Celui d'un infirmier d'ambulance Qui clignotait dans les cas d'urgence
{au refrain}
J'ai vu le p'tit zizi des aristos Ô gué, ô gué Qui est toujours au bord de l'embargo Ô gué, ô gué J'ai roulé de la pâtisserie Avec celui de mon mari Avec celui d'un Chinois J'ai même cassé des noix Avec un zizi aux mœurs incertaines J'ai même fait des ris de veau à l'ancienne
Phillipe Katerine ne laisse pas indifférent, génie pour certains, escroc pour d'autres. Une chose est certaine: les textes ne sont pas très difficiles à comprendre ! Comme par exemple le texte de cette chanson issue de son dernier album (qui se vend d'ailleurs très très bien): La banane.
Non je ne veux plus jamais Travailler Plutôt crever Non je n'irais plus jamais Au supermarché Plutôt crever
Non mais laissez moi(x2) Manger ma banane Non mais laissez moi(x2) Manger ma banane tout nu Sur la plage
Non je ne veux plus jamais M'habiller Plutôt crever Plutôt crever que de me lever parce que vous me le demandez Plutôt crever
Non mais laissez moi(x2) Manger ma banane Non mais laissez moi(x2) Manger ma banane tout nu Sur la plage
Oui monsieur je sais que ce sont vos enfants Mais quand ils me voient ils rigolent tout le temps Alors laissez moi laissez moi laissez moi laissez moi laissez moi!
Non mais laissez moi(x2) Manger ma banane Non mais laissez moi(x2) Manger ma banane Non mais laissez moi(x2) Manger ma banane Non mais laissez moi(x2) Plutôt crever que de pas finir ma banane
Personnellement j'aime bien le personnage, il est sympa, provocateur et pas si superficiel que l'on pourrait penser. Vive la banane et les bisoux !
Des bisoux
On est là pour quoi On est là pour qui Dans les magasins A se prendre la tête Au fond qu'est ce qu'on veut Au fond qu'est ce qu'on cherche Quand on s'prend la tête Mais qu'est ce qu'on attend
Des bisoux (x15)
Quand on se dit fuck J'te défonce la gueule Tout en insultant Les papa les maman Au fond qu'est ce qu'on veut Au fond qu'est ce qu'on cherche Quand on se dit fuck Mais qu'est ce qu'on attend
Des bisoux (x15)
De façon générale Et très globalement En définitive Mais qu'est ce qu'on attend Pour se faire
Avec mes groupes de conversation nous parlons en ce moment des animaux domestiques, chiens, chats et autres compagnons. C'est pourquoi cette nouvelle a attiré mon attention même si cela ne se passe pas en France !
Avec un de mes groupes nous parlons depuis plusieurs semaines des médias et de la presse en particulier. Dans une de ces discussions nous avons souligné l'emploi parfois abusif que font les journalistes de certaines photos. Illustration avec cette photo du président Sarkozy en Inde, le pouce levé, très content (d'après les journalistes) d'avoir signé plein de contrats pour l'industrie française. Problème: ce pouce levé ne signifiait pas "c'est super ! Je suis content !" mais tout autre chose...
La preuve en image apportée par le Petit journal de Canal plus.