Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • La fin de TV5 ?

    7047efde3b0d93a794755e33416fec30.jpg
    Nicolas Sarkozy n'a pas oublié sa petite idée de faire fusionner TV5 avec France24 et RFI. Cette fusion changerait fondamentalement la nature de TV5, qui de chaîne francophone deviendrait une chaîne simplement française. Heureusement il y a les autres partenaires comme la Suisse la Belgique ou encore le Québec ne sont pas du tout d'accord avec ce projet.  Est-ce que ce sera suffisant pour sauver cette très bonne chaîne ? À suivre...
     

  • Radio-Bistrot

    Anne Roumanof est une humoriste qui chaque semaine fait une chronique de l'actualité dans l'émission Vivement Dimanche de Michel Drucker. Cette chronique s'appelle Radio-Bistrot et caricature la Française moyenne (ou le Français moyen) qui commente l'actualité au café un verre à la main. Peut-être un peu difficile à comprendre pour certains d'entre vous mais essayez quand même ça vaut la peine ! Cette chronique-là parle de Sarkozy et de Carla...

     

  • Arche de Zoë

    Coup de gueule (je n'en fais pas souvent mais là je ne peux pas me retenir!)

    La justice française vient de considérer qu'une peine de prison exprimée au Tchad pouvait être transformée en une peine de prison en France. Autrement dit la justice tchadienne est équivalente à la justice française.

    Il s'agit de l'affaire "Arche de Zoë" dont vous avez tous entendu parler. La justice française vient de convertir les huit ans de travaux forcés prononcés au Tchad en huit ans de prison en France. 

    On peut avoir une opinion très négative des personnes impliquées dans cette affaire, on peut estimer que la peine est méritée mais comment peut-on affirmer qu'un procès au Tchad est un procès équitable ? 

    Il faut rappeler que la tâche des juges n'étaient pas de juger les prévenus mais de décider si oui ou non la peine prononcée à N’Djamena était convertible en droit français. Et la réponse est donc oui. Oui malgré la parodie de justice du procès au Tchad, malgré la collectivité de la peine sans distinction des actes et des implications de chacun.

    Personnellement ça me laisse sans voix...

    Comment est-ce possible ? Comment la France, une démocratie, peut-elle cautionner ainsi la justice d'un pays sans liberté de la justice, sans liberté de la presse, sans liberté d'opinion ?

    Il ne s'agissait sûrement pas d'acquitter les accusés mais de refaire un véritable procès qui se déroule de façon digne et respectable. C'est tout simplement honteux. J'aime mon pays mais parfois il ne fait pas bon d'être français.

  • La corrida

    Très belle reprise d'une chanson de Francis Cabrel par Christophe Maé. Un beau texte contre la corrida qui, je le rappelle, se pratique hélas aussi en France. Ecoutez c'est le taureau qui vous parle...

    La corrida

    Depuis le temps que je patiente
    Dans cette chambre noire
    J'entends qu'on s'amuse et qu'on chante
    Au bout du couloir ;
    Quelqu'un a touché le verrou
    Et j'ai plongé vers le grand jour
    J'ai vu les fanfares, les barrières
    Et les gens autour

    Dans les premiers moments j'ai cru
    Qu'il fallait seulement se défendre
    Mais cette place est sans issue
    Je commence à comprendre
    Ils ont refermé derrière moi
    Ils ont eu peur que je recule
    Je vais bien finir par l'avoir
    Cette danseuse ridicule...

    Est-ce que ce monde est sérieux ?
    Est-ce que ce monde est sérieux ?
    Andalousie je me souviens
    Les prairies bordées de cactus
    Je ne vais pas trembler devant
    Ce pantin, ce minus !
    Je vais l'attraper, lui et son chapeau
    Les faire tourner comme un soleil

    Ce soir la femme du torero
    Dormira sur ses deux oreilles
    Est-ce que ce monde est sérieux ?
    Est-ce que ce monde est sérieux ?
    J'en ai poursuivi des fantômes
    Presque touché leurs ballerines
    Ils ont frappé fort dans mon cou
    Pour que je m'incline

    Ils sortent d'où ces acrobates
    Avec leurs costumes de papier ?
    J'ai jamais appris à me battre
    Contre des poupées
    Sentir le sable sous ma tête
    C'est fou comme ça peut faire du bien
    J'ai prié pour que tout s'arrête
    Andalousie je me souviens

    Je les entends rire comme je râle
    Je les vois danser comme je succombe
    Je pensais pas qu'on puisse autant
    S'amuser autour d'une tombe
    Est-ce que ce monde est sérieux ?
    Est-ce que ce monde est sérieux ?

  • Merci qui ?

    b4870453fdf41984cd9de16686657e21.jpgComme certains d'entre vous me l'ont demandé je replace ici le lien vers le site de "Merci professeur". Pour ceux qui ne connaissent pas : "le professeur" vous explique l'origine de mots et de locutions françaises. Très intéressant.

    Merci professeur

  • Apparition de l 'homme

    e7da1bfa1bd97b8427547f90c4cdbf2e.gifPour les participants du groupe B2A en particulier, voici un lien vers la biographie d'Yves Coppens dont nous avons parlé lundi. On trouve aussi les références des très bons documentaires "L'odyssée de l'espèce" et "Homo sapiens" que l'on peut trouver en DVD et que je vous conseille vivement. Il y en a un troisième intitulé "Le sacre de l'homme" que je n'ai pas encore vu.

    Yves Coppens 

  • Puisque tu pars

    a35745af1babc4218ea2511541a9fae4.jpgUne chanson dédiée à Myriam ma soeur, à tous ceux qui sont partis tenter de trouver le bonheur ailleurs et à tous ceux qui sont restés.

    Jean-Jacques Goldman

    Puisque tu pars

    Puisque l'ombre gagne
    Puisqu'il n'est pas de montagne
    Au-delà des vents plus haute que les marches de l'oubli
    Puisqu'il faut apprendre
    A défaut de le comprendre
    A rêver nos désirs et vivre des "ainsi-soit-il"

    Et puisque tu penses
    Comme une intime évidence
    Que parfois même tout donner n'est pas forcément suffire
    Puisque c'est ailleurs
    Qu'ira mieux battre ton cœur
    Et puisque nous t'aimons trop pour te retenir

    Puisque tu pars

    Que les vents te mènent
    Où d'autres âmes plus belles
    Sauront t'aimer mieux que nous puisque l'on ne peut t'aimer plus
    Que la vie t'apprenne
    Mais que tu restes le même
    Si tu te trahissais nous t'aurions tout à fait perdu

    Garde cette chance
    Que nous t'envions en silence
    Cette force de penser que le plus beau reste à venir
    Et loin de nos villes
    Comme octobre l'est d'avril
    Sache qu'ici reste de toi comme une empreinte indélébile

    Sans drame, sans larme
    Pauvres et dérisoires armes
    Parce qu'il est des douleurs qui ne pleurent qu'à l'intérieur
    Puisque ta maison
    Aujourd'hui c'est l'horizon
    Dans ton exil essaie d'apprendre à revenir

    Mais pas trop tard

    Dans ton histoire
    Garde en mémoire
    Notre au revoir
    Puisque tu pars
    Dans ton histoire
    Garde en mémoire
    Notre au revoir
    Puisque tu pars

    J'aurais pu fermer, oublier toutes ces portes
    Tout quitter sur un simple geste mais tu ne l'as pas fait
    J'aurais pu donner tant d'amour et tant de force
    Mais tout ce que je pouvais ça n'était pas encore assez
    Pas assez, pas assez, pas assez

    Dans ton histoire (dans ton histoire)
    Garde en mémoire (garde en mémoire)
    Notre au revoir (notre au revoir)
    Puisque tu pars (puisque tu pars)
     

  • Carla

    Vous avez tous entendu parler de Carla Bruni et des ses aventures élyséennes, vous savez aussi qu'elle est chanteuse. Mais l'avez-vous déjà entendu chanter ? Non ? Alors cette petite vidéo est pour vous avec une chanson de Carla qui a eu un joli succès en France (2002) avec un texte que je trouve bien écrit et bien interprété. On peut donc être une artiste de qualité et la compagne (épouse?) de vous-savez-qui ! (site officiel Carla Bruni)

    Quelqu'un m'a dit (paroles et musique de Carla Bruni)

    On me dit que nos vies ne valent pas grand chose,
    Elles passent en un instant comme fanent les roses.
    On me dit que le temps qui glisse est un salaud
    Que de nos chagrins il s'en fait des manteaux
    Pourtant quelqu'un m'a dit...

    Que tu m'aimais encore,
    C'est quelqu'un qui m'a dit que tu m'aimais encore.
    Serait-ce possible alors?

    On me dit que le destin se moque bien de nous
    Qu'il ne nous donne rien et qu'il nous promet tout
    Paraît que le bonheur est à portée de main,
    Alors on tend la main et on se retrouve fou
    Pourtant quelqu'un m'a dit ...

    (Refrain)

    Mais qui est-ce qui m'a dit que toujours tu m'aimais?
    Je ne me souviens plus c'était tard dans la nuit,
    J'entends encore la voix, mais je ne vois plus les traits
    "Il vous aime, c'est secret, ne lui dites pas que je vous l'ai dit"
    Tu vois quelqu'un m'a dit...

    Que tu m'aimais encore, me l'a-t-on vraiment dit...
    Que tu m'aimais encore, serait-ce possible alors?

    On me dit que nos vies ne valent pas grand-chose,
    Elles passent en un instant comme fanent les roses
    On me dit que le temps qui glisse est un salaud
    Que de nos tristesses il s'en fait des manteaux,
    Pourtant quelqu'un m'a dit que...

    (Refrain) 

     

    La version des enfoirés avec Francis Cabrel, Zazie, Marc Lavoine, Patrick Bruel et Raphaël

  • Les gens qui s'aiment

    En écrivant ma réponse au commentaire de Merle à propos de la chanson de Cali "comme j'étais en vie", j'ai pensé à cette chanson de William Sheller que j'aime beaucoup : "un homme heureux".  Il s'agit là aussi d'une chanson sur des gens qui s'aiment mais cette fois-ci vus de l'extérieur par un homme qui cherche le bonheur. Une chanson très connue en France avec un beau texte.

    Un homme heureux 

    Pourquoi les gens qui s'aiment
    Sont-ils toujours un peu les mêmes?
    Ils ont quand ils s'en viennent
    Le même regard d'un seul désir pour deux
    Ce sont des gens heureux

    Pourquoi les gens qui s'aiment
    Sont-ils toujours un peu les mêmes?
    Quand ils ont leurs problèmes
    Ben y a rien à dire
    Y a rien à faire pour eux
    Ce sont des gens qui s'aiment

    Et moi j'te connais à peine
    Mais ce s'rait une veine
    Qu'on s'en aille un peu comme eux
    On pourrait se faire sans qu'ça gêne
    De la place pour deux
    Mais si ça n'vaut pas la peine
    Que j'y revienne
    Il faut me l'dire au fond des yeux
    Quel que soit le temps que ça prenne
    Quel que soit l'enjeu
    Je veux être un homme heureux

    Pourquoi les gens qui s'aiment
    Sont-ils toujours un peu rebelles?
    Ils ont un monde à eux
    Que rien n'oblige à ressembler à ceux
    Qu'on nous donne en modèle

    Pourquoi les gens qui s'aiment
    Sont-ils toujours un peu cruels?
    Quand ils vous parlent d'eux
    Y a quelque chose qui vous éloigne un peu
    Ce sont des choses humaines

    Et moi j'te connais à peine
    Mais ce s'rait une veine
    Qu'on s'en aille un peu comme eux
    On pourrait se faire sans qu'ça gêne
    De la place pour deux
    Mais si ça n'vaut pas la peine
    Que j'y revienne
    Il faut me l'dire au fond des yeux
    Quel que soit le temps que ça prenne
    Quel que soit l'enjeu
    Je veux être un homme heureux
    Je veux être un homme heureux
    Je veux être un homme heureux

  • Comme c'est bien !

    Comme c'est bien Cali ! Vraiment mon favori depuis le début, ce n'est pas la première fois que je vous parle de lui et sûrement pas la dernière !

    Comme j'étais en vie (wat was ik in leven, gelukkig ?)

    J’étais dingue de toi
    Prêt à toutes les conneries
    Prêt à faire n’importe quoi
    Je me souviens de ces quelques pas
    Que tu m’avais appris
    Pour valser sous les feux mon amour

    Je me souviens des lampions et de l’orchestre
    Et les autres riaient
    On tournait maladroits
    Mais la nuit nous appartenait
    Et puis quand tu m’as dit
    Laissons-les boire à notre amour qui hurle, putain

    Comme j’étais en vie
    Comme j’étais en vie
    Comme j’étais en vie

    Et j’embrassais tes doigts
    Et j’embrassais tes yeux
    J’étais dingue de toi
    Je n’avais plus besoin de perdre
    Tu m’as pris par la manche
    Et dans cette petite rue
    Nous brûlions l’un près de l’autre, putain

    Comme j’étais en vie
    Comme j’étais en vie
    Comme j’étais en vie

    Je me souviens de notre dernier mot
    Le plus inoubliable
    Et de tes lèvres qui brillaient dans le soir
    Et puis on a rejoint les autres
    Dans les rires, le bonheur et le vin
    Tu venais de temps en temps, délicieuse, prendre ma bouche
    Mon Dieu comme j’étais beau, putain

    Comme j’étais en vie
    Comme j’étais en vie
    Comme j’étais en vie

    J’étais dingue de toi
    Prêt à toutes les conneries
    Prêt à faire n’importe quoi
    Je me souviens de ces quelques pas
    Que tu m’avais appris
    Mon Dieu comme j’étais beau